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  • Photo du rédacteurVincent Larue

Bilan de mi-saison des Canadiens



Crédits photo: John Mahoney / Montreal Gazette

Toutes les équipes de la LNH ont disputé au moins la moitié des 82 parties de la saison 2023-2024. Plusieurs points positifs et négatifs sont à retenir de la première moitié de saison du CH.

 

Pour commencer, même s’il ne faut pas parler du mot en « p » qui signifie playoff, les Canadiens de Montréal ne sont pas si loin d’une place en série éliminatoire. En effet, avec leur fiche de 19-19-7, ils ne sont qu’à quatre petits points d’égaliser Le Lightning de Tampa Bay qui occupe le dernier rang pour participer aux séries.

 

L’éclosion de trois joueurs en particulier a grandement aidé le CH. Ces trois joueurs sont Juraj Slafkovsky, Kaiden Guhle et Jayden Struble. Tout va pour le mieux dans le développement du jeune Juraj. Celui-ci s’impose physiquement et joue avec beaucoup plus de confiance. Le grand numéro 20 lance plus souvent au filet et joue plus intelligemment avec et sans la rondelle. Pour Kaiden Guhle, il s’améliore de parties en parties et devient un défenseur très important pour le Tricolore. Kaiden joue de très grosses minutes et il est responsable défensivement. Pour Jayden Struble, cela est une surprise pour tout le monde. Celui-ci est venu en renfort à la brigade défensive de la Sainge-Flanelle avec la blessure d’Arber Xhekaj. Maintenant, aucun défenseur peut prendre sa place dans la formation. En plus d’avoir un excellent physique et d’être solide sur ses patins, le numéro 47 est responsable défensivement et fait des très bonnes relances.

 



Avec cette moitié de saison, le CH a pu enfin définir leur gardien numéro un. Avec ses excellentes performances, parties après parties, c’est Samuel Montembeault qui obtient ce poste. Son taux d’efficacité est de 0,910 et sa moyenne de buts accordés par partie est de 2,85.

 

Un des points à améliorer est les unités spéciales. Effectivement, l’avantage numérique se dirige vers la bonne voie, mais il reste tout de même de l’amélioration. De ce fait, les Canadiens se retrouvent aux 21e rang avec un taux d’efficacité de 18,4%. En désavantage numérique, cela se redresse, mais les chiffres parlent d’eux-mêmes. Le Tricolore se retrouve aux 28e rang avec un taux d’efficacité de 73,0%.




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